jeudi 27 novembre 2008

Une salsa de maïs

Avec la saison froide qui approche à grand pas, les légumes se feront de moins en moins disponibles et de plus en plus dispendieux. Il est encore temps de profiter des derniers spéciaux d’automne et de faire des réserves.

Une façon simple d’ajouter des légumes au repas, une salsa de maïs. Une recette vraiment facile à faire qui se fait en dix minutes ! Le midi pour un lunch ou en accompagnement du repas principal au souper, en variant parfois les légumes ou l’assaisonnement pour obtenir une toute autre salade froide. Vous pouvez trouver la recette et bien plus dans le livre Boîtes à lunch santé.

Ingrédients
- 500 ml de maïs en grain surgelé
- 1 poivron rouge en petits dés
- 1 concombre non pelé en petits dés
- 2 tomates en petits dés
- Le jus de ½ citron
- 10 ml d’huile d’olive
- 5ml de graines de cumin grillées
- 5ml d’ail haché

Préparation

- Il suffit de mélanger tous les ingrédients dans un bol. Rectifier l’assaisonnement au goût.
- Garder froid jusqu’au repas ou dans un plat hermétique


mercredi 26 novembre 2008

Depuis le début de l’année scolaire, j’ai entrepris une routine très contrôlée avec fiston. Bien entendu, nous avons dû nous ajuster à quelques reprises mais ça va plutôt bien ! Fiston adore qu’on s’occupe de lui et il adore apprendre en s’amusant donc je trouve des activités intéressantes pour lui en mélangeant le jeu et l’apprentissage.

J’utilise certains livres adaptés à son niveau pour soutenir les activités et m’inspirer dans les jeux. Ça me permet aussi de connaître les différentes stimulations nécessaires en fonction de son âge et de suivre son développement.

Il y a un livre, que je trouve vraiment intéressant sur le développement psychomoteur. Il est très bien fait, bien divisé par catégorie. À utiliser même plusieurs années, en groupant les activités en fonction de l’âge de l’enfant.

Chaque jour, j’y cherche des activités dans les différents chapitres : motricité globale, motricité fine, le schéma corporel, la latéralité, l’orientation spatiale, l’orientation temporelle et le rythme, l’organisation perceptive, la discrimination visuelle, la mémoire visuelle, la discrimination auditive, la mémoire auditive, l’attention, le raisonnement et la préparation aux mathématiques, l’expression orale et finalement l’expression graphique.

Des jeux simples, pour les enfants de 2 à 6 ans, pour les préparer à l’école, une vraie petite merveille. Écrit par Louise Doyon, qui a étudié à l’Université du Québec à Montréal en adaptation scolaire et qui a enseigné pendant une trentaine d’années, la première édition a été un best-seller il y a trente ans et les nouvelles éditions se sont multipliées depuis.

Le voici. Préparez votre enfant à l’école 500jeux psychomoteurs pour les enfants de 2 à 6 ans.




mardi 25 novembre 2008

Première neige


Hier matin, en sortant du lit, le sol était couvert d’un mince tapis blanc. Je pouvais apercevoir les brins d’herbes dépasser. Nous avions profité de ce peu de neige pour jouer en traineau.


Première neige

Hier matin, en sortant du lit, le sol était couvert d’un mince tapis blanc. Je pouvais apercevoir les brins d’herbes dépasser. Nous avions profité de ce peu de neige pour jouer en traineau.

Ce matin, Wow, magnifique. Un bon 5 cm de neige, assez pour couvrir le gazon et devoir sortir la pelle. Une fois les filles à la maison, j’ai laissé faire l’horaire habituel et nous avons joué dehors.

Il faisait doux, dans la noirceur, mes filles adorent ça. On avait déjà une bonne montagne faite par Papi avec son tracteur. Nous avons glissé, sauté dans la neige molle, fait des anges. Je n’ai pas manqué de prendre quelques photos !!

dimanche 23 novembre 2008

Vivre à la campagne

Vivre à la campagne, pour moi ça fait un gros changement. La façon que j‘ai de voir la vie se concrétise, mes connaissances de l’autosuffisance s’approfondissent et mon côté matérialiste se résigne. Je suis fière d’avoir la simplicité de vivre dans les années 2000 en apprenant ce qui était coutume d’apprendre au plus jeune âge il y a 100 ans, afin d’assurer la survie de chacun.

Ici les parents encouragent leur progéniture à manger leur viande en disant : « c’est le cochon de papi, les poulets de tante Josette… », ils travaillent du lever au coucher du soleil. Ici, dans les rues, frappés par une voiture, on voit des chats et encore des chats, qui gardaient les fermes en chassant les mulots qui voulaient y crécher pour l’hiver. Ici les gens font des réserves de nourriture pour la saison froide, quand les champs sont gelés et qu’ils doivent attendre le printemps, ils en profitent pour les travaux intérieurs.

Les gens ne connaissent pas la dernière chaussure à la mode, ils n’ont pas comme passe-temps le magasinage, ils ne passent pas de journée à ne pas savoir quoi faire ou de longs jours de pluie devant le téléviseur. Ici les gens s’amusent aussi, le VTT l’été et la motoneige en hiver sont parmi les préférences, voilà où va la dépense, juste assez pour faire rouler une économie dans la région. Les gens se réunissent pour fabriquer un chalet, s’entraident quand il faut creuser le fossé, se partage les produits des récoltes.

Ici les voitures roulent trop vite et les chauffards reçoivent une contravention quand la police, bien placée, les prend à rouler 90 km dans une zone de 50 km. Ici aussi les routes sont asphaltées et des trottoirs bordent la rue pour laisser passer les piétons. Ici aussi nous avons l’électricité et l’eau arrive du robinet sans devoir la pomper. Ici les gens connaissent l’hygiène, même s’ils sentent fort le fumier à la fin d’une journée. Ici ce n’est pas de reculer 100 ans en arrière, non. Ici c’est vivre un peu plus loin des grands centres, et se souvenir comment on survit quand on voit approcher une récession.

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